terça-feira, 15 de maio de 2007

Ciclo de cinema

Programa:

DESERT DREAM, real. Zhang Lu, co-produção Coreia/Mongólia/França, 2006, 123’
18 de Maio, sexta-feira, 22h
Grande Auditório

THE HOSTAGE, real. Laila Pakalnina, Letónia, 2006, 74’
19 de Maio, sábado, 21h30
Sala Polivalente do CAMJAP

WOMAN ON THE BEACH, real. Hong Sang-soo, Coreia do Sul, 2006, 127’
20 de Maio, domingo, 21h30
Grande Auditório

WAR AND PEACE, real. Anand Patwardhan, Índia, 2002, 148’
22 de Maio, terça-feira, 21h30
Sala Polivalente do CAMJAP

CES RENCONTRES AVEC EUX, real. Jean-Marie Straub e Danièle Huillet, França, 2006, 68’
23 de Maio, quarta-feira, 21h30
Grande Auditório

STORIES FROM THE NORTH, real. Uruphong Raksasad, Tailândia, 2006, 88’
24 de Maio, quinta-feira, 21h30
Sala Polivalente do CAMJAP

FALLEN, real. Barbara Albert, Áustria, 2006, 88’
25 de Maio, sexta-feira, 21h30
Sala Polivalente do CAMJAP

INDIO NACIONAL, real. Raya Martin, Filipinas, 2006, 96’
26 de Maio, sábado, 21h30
Grande Auditório

LA RABBIA, real. Pier Paolo Pasolini, Itália, 1963, 53’
27 de Maio, domingo, 21h30
Grande Auditório

SPIDER LILIES, real. Zero Chou, Taiwan, 2007, 98’
29 de Maio, terça-feira, 21h30
Sala Polivalente do CAMJAP

THE BRIDGE, real. Eric Steel, EUA, 2006, 93’
30 de Maio, quarta-feira, 21h30
Sala Polivalente do CAMJAP

ROUTE 225, real. Yoshihiro Nakamura, Japão, 2005, 101’
31 de Maio, quinta-feira, 21h30
Sala Polivalente do CAMJAP

TACHIGUISHI RETSUDEN, real. Oshii Mamoru, Japão, 2006, 104’
1 de Junho, sexta-feira, 21h30
Sala Polivalente do CAMJAP

POTOSI, LE TEMPS DU VOYAGE, real. Ron Havilio, co-produção Israel/França, 2007, 246’
2 de Junho, sábado, 21h30
Sala Polivalente do CAMJAP

1 comentário:

Anónimo disse...

Pasolini…

L’autre jour, sur France musique, dans une émission dédiée aux chants des morts en Sicile, une femme donne son témoignage : un jour, Pasolini arriva à un village perdu en Sicile. Dans une église on pleurait un mort. Le chant s'arrête et Pasolini, envouté par la beauté du chant, pria les femmes de continuer. Mais elles ne pouvaient pas, la cérémonie arrivait a sa fin, il n’y avait plus de mort pour pleurer...
Pasolini a tellement insisté qu’elles reprirent le chant pour lui. Quelques jours après, il était mort sur la plage. Il avait osé écouter le chant des morts de son vivant… tel un Orphée qui est admis dans des lieux défendus aux mortels…